En 2016, je trippais décentralisation en @$#% (c'est toujours le cas), et j'avais expérimenté avec OpenBazaar. En gros c'est un genre de eBay où notre page de marchand et nos produits sont hébergés sur notre propre serveur. Il y avait des accrocs et OpenBazaar a baissé pavillon depuis mais je n'ai pas arrêté d'y penser.
Quelqu'un a repris le code pour faire Mobazha.
Avec le comportement de prédation sur les marchands et la prévalence d'Amazon, je rêve toujours d'une plateforme de vente libre, regroupant les marchands de manière standardisée et conviviale et qui éliminerait le quasi-monopole d'Amazon.
Imaginez... Paiement à travers interac ou autre monnaie québécoise, API ouvert pour des compagnies de transport misant sur les livraisons, possibilité d'arbitrage style notaire ou amf pour les grosses transactions...
Je salue Amazon pour leur résolution de problèmes logistiques mais leur comportement a achevé ma sympathie.
Dans un monde moins débile, j'aimerais que l'UPAC fasse une vérification auprès des personnes prenant la décision pour savoir si des montants ont été perçus et/ou je leur interdirait de travailler chez Microsoft ou société-soeur pendant 25 ans. Je sais, je rêve.
Sinon, j'ai demandé à mon député la mise sur pied d'un organisme indépendant du gouvernement qui capterait 1% de tous les contrats informatiques pour développer du code libre pour le gouvernement du Québec et les municipalités. Nous pourrions aussi contribuer à des initiatives de code libre pour administrations publiques ailleurs dans le monde.
En 2025, si les GAFAM sont choisis pour certains services du gouvernement c'est une question de stratégie de marché et de politique, pas de technologie.