oeil

joined 1 month ago
[–] oeil@jlai.lu 4 points 4 hours ago (1 children)

"La BnF propose le Pass BnF lecture / culture à 24 €, 15 € pour les moins de 26 ans et les étudiants de moins de 35 ans et gratuit selon exonérations".

https://www.bnf.fr/fr/tarifs-dacces-aux-bibliotheques-et-loffre-culturelle

Pour être hyper précis baguette beret

[–] oeil@jlai.lu 2 points 10 hours ago* (last edited 10 hours ago)

Merci ! Apparemment c'était une histoire de VPN...

Oui, ça ne m'étonne pas pour les grandes dictées (cela étant celle-ci est gratuite pour les participant.e.s il me semble). Après c'est un peu pareil pour tous les concours et jeux de mots je pense. Le but n'étant pas vraiment l'apprentissage ni la réflexion sur l'orthographe, grammaire, etc. mais plus l'aspect ludique et compétitif.

Le problème est peut-être plutôt celui de la communication sur ce type d'évènements et la mise en valeur d'une culture faussement élitiste, alors qu'elle reste celle d'un défi. Et le manque d'offres concurrentes de vraies dictées d'apprentissage et de réflexion collective.

https://www.larep.fr/orleans-45000/actualites/trop-academique-l-universitaire-laelia-veron-evincee-d-une-dictee-geante-du-departement-du-loiret_14507983/

*lire "propositions alternatives d'éducation populaire" si "offres concurrentes" fait tiquer associé à apprentissage ;)

[–] oeil@jlai.lu 1 points 11 hours ago (2 children)

Je n'arrive pas à ouvrir ton lien, je ne sais pas pourquoi. On peut y accéder sans compte mastodon ?

[–] oeil@jlai.lu 2 points 11 hours ago

7/12 mais je dois avouer que je dois beaucoup à la chance ou à la déduction, sauf pour le pourcentage de destruction lors du bombardement allié et Charlotte Corday...mais ça reste des classiques de l'histoire française.

[–] oeil@jlai.lu 2 points 12 hours ago

J'ai commencé le tricot jeune avec un membre de mon entourage, mais bizarrement j'ai vraiment appris en regardant des tutos vidéos plus tard, car tu peux faire pause, ralentir, revoir plein de fois le mouvement...Parfois ton ou ta passeuse de savoir n'a pas la même patience qu'une vidéo ;) Pour le crochet, un peu pareil, j'ai commencé totalement par hasard les amigurumis en étant sollicitée comme "interprète" (grand mot) pour un atelier avec une prof étrangère...j'ai galéré à faire une chaînette. Ça c'est beaucoup mieux passé avec un tuto :)

[–] oeil@jlai.lu 2 points 12 hours ago (1 children)

Ah cool ! La référence peut peut-être aller dans les ressources utiles de la barre latérale tu crois ?

[–] oeil@jlai.lu 2 points 12 hours ago (1 children)

Question aux tricoteur.se.s de chaussettes : avez-vous déjà tricoté deux chaussettes en même temps sur une seule paire d'aiguilles circulaires en magic loop ? Si oui, quels sont vos avis ?

[–] oeil@jlai.lu 1 points 13 hours ago

J'ai trouvé #cemantix nº1113 en 22 coups ! 🥳 🥵2️⃣ 😎4️⃣ 🥶1️⃣5️⃣ https://cemantix.certitudes.org/

[–] oeil@jlai.lu 1 points 13 hours ago

#SUTOM #1167 4/6

🟥🟦🟡🟡🟦🟡🟦🟦 🟥🟦🟥🟡🟡🟦🟡🟦 🟥🟥🟥🟡🟥🟦🟡🟡 🟥🟥🟥🟥🟥🟥🟥🟥

https://sutom.nocle.fr/

Je suis d'accord, il fallait connaître le terme spécifique à cette pratique !

[–] oeil@jlai.lu 3 points 1 day ago

Il s'appelle Mini-Mochi car il ira tenir compagnie à un 2 ans, colocataire d'un vrai Mochi snobeur d'enfants. Mini-Mochi a quelques défauts que je n'ai pas eu le courage de corriger (j'ai oublié de bourrer son museau, et j'ai quelques diminutions un peu trop visibles). Ça fait plus d'un an que je n'ai rien tricoté ou crocheté, il faut que je me refasse la main :).

[–] oeil@jlai.lu 4 points 1 day ago (3 children)

Premières photos de mini-mochi : Image Image Image

[–] oeil@jlai.lu 1 points 1 day ago

Eggnog : Final Results 33 599 Total Points out of 50,000 You beat 90% of players

divulgâchebon, j'avoue, j'avais bien reconnu la conspiration des poudres, mais j'ai un peu triché pour m'aider sur le siècle.

 

publication croisée depuis : https://jlai.lu/post/16541080

Rouen ; musée Flaubert et d'histoire de la médecine. Matériaux - techniques : tissu (cousu, brodé), os, cuir, coton, bois, fer

Angélique Marguerite Le Boursier du Coudray, née en 1712, était la première sage-femme française à enseigner en public l'« art des accouchements ».

Après avoir été maîtresse sage-femme au Châtelet à Paris pendant seize ans, elle retourne en Auvergne en 1754 et commence à donner des cours gratuitement aux femmes en charge d'accouchements en milieu rural. Pour rendre ses cours « palpables », elle invente un mannequin fait de bois, carton, tissus, coton, reproduisant en grandeur nature le bassin d'une femme en couches, ce qui permet différentes manipulations ; il est approuvé en 1758 par l'Académie de chirurgie. Louis XV lui accorde en 1759 un brevet et une pension : elle va donner des cours dans tout le royaume.

Lien Wikipédia

Plus de photos et d'informations ici sur POP : la plateforme ouverte du patrimoine du ministère de la Culture

 

Rouen ; musée Flaubert et d'histoire de la médecine. Matériaux - techniques : tissu (cousu, brodé), os, cuir, coton, bois, fer

Angélique Marguerite Le Boursier du Coudray, née en 1712, était la première sage-femme française à enseigner en public l'« art des accouchements ».

Après avoir été maîtresse sage-femme au Châtelet à Paris pendant seize ans, elle retourne en Auvergne en 1754 et commence à donner des cours gratuitement aux femmes en charge d'accouchements en milieu rural. Pour rendre ses cours « palpables », elle invente un mannequin fait de bois, carton, tissus, coton, reproduisant en grandeur nature le bassin d'une femme en couches, ce qui permet différentes manipulations ; il est approuvé en 1758 par l'Académie de chirurgie. Louis XV lui accorde en 1759 un brevet et une pension : elle va donner des cours dans tout le royaume.

Lien Wikipédia

Plus de photos et d'informations ici sur POP : la plateforme ouverte du patrimoine du ministère de la Culture

 

Curiosité faisant partie de la collection de la Maison Mantin, à Moulins, en France. La collection compte également un rat empaillé jouant du violin.

 

Il y a des patrons gratuits :)

 

Nouveau numéro sur l'histoire des petites mains de la mode : "broder, tisser, coudre, tricoter, confectionner de la dentelle, fabriquer de la maille, repriser, travailler le cuir, tatouer, façonner des gants..."

La mode à pleines mains. « Seconde main », « petites mains », « main » du tissu... Le langage, têtu, nous rappelle ce que le récit enchanté de la mode efface souvent soigneusement : ce lien si intime entre la main, la couture et le vestiaire. Comme si le vêtement pouvait exister sans les gestes qui le taillent, l’assemblent, le fabriquent ; comme si une robe se portait sans mains pour la boutonner ou l’arranger ; comme si nos mains – baguées, gantées, manucurées ou abimées – étaient une part un peu négligeable du corps de mode. La féérie de la mode requiert d’en oublier le prosaïque, le laborieux, les ajustements permanents. Elle tient en de somptueuses silhouettes sans contingences, dont certaines parts seulement sont mises en gloire : jambes, seins, visages, tailles, bras parfois... Les chercheurs eux-mêmes, accompagnant le mouvement à leur façon, ont rarement regardé les mains, que ce soit en leurs gestes travailleurs ou leurs parures exhibées. Comme si, par leur évidence, elles risquaient de gâcher la poésie des apparences. L’idée d’intelligence de la main a certes nourri nombre de débats depuis Aristote, tout comme la question des liens entre main et outils ; et l’on peut observer un regain d’attention pour les artisanats, les techniques et les manières de faire. Tout cela n’efface pas un insistant mystère : ce que la mode doit et fait à nos mains. Modes pratiques : ce sixième numéro l’est donc sans doute comme jamais. En son cœur, en effet, des techniques et des gestes : broder, tisser, coudre, tricoter, confectionner de la dentelle, fabriquer de la maille, repriser, travailler le cuir, tatouer, façonner des gants... Tout l’envers du décor et le hors champ s’y dévoilent. Et, avec eux, des femmes et des hommes, artisans de métiers perdus ou négligés – brodeurs ou maroquiniers, tisserands ou ouvrières de l’aiguille – et des industries peu souvent racontées : ganteries de Millau ou premières fabriques de gants de boxe. Leur histoire y est relatée, par les mots des travailleurs ou ceux des chercheurs, qui disent les façons de faire, les apprentissages, les blessures et les joies. De mains en mains, se tisse ainsi un récit industrieux, social et symbolique. S’y révèlent les parentés techniques des gestes de la mode avec ceux de peindre ou de cueillir, et la fertilité intellectuelle de la pratique pour celles et ceux qui l’écrivent. S’y lisent les pouvoirs d’émancipation ou d’affirmation d’un savoir-faire – pour les femmes tatoueuses et tatouées de l’hôpital Broca ou pour des détenus en Angleterre. S’y raconte la force symbolique des gants et de leurs usages codifiés, jusqu’à leur contemporaine disparition. S’y lit le récit social délivré par les mains contrôlées des domestiques ou meurtries des ouvrières et ouvriers. S’y montre aussi la portée poétique et métaphorique des mains mises en scène dans la littérature et au cinéma. Car les jeux de mains et du vestiaire ont une histoire : où placer ses mains dans l’Antiquité romaine, en ces temps sans poches cousues ? Comment jouer de ses mains et de ses manches en cours d’assises ? Que signifiait retrousser sa robe au XIXe siècle ? Quel sens donner aux poses des mains dans le magazine Vogue ? Comment voler, d’une main habile, dans les poches ? Sans toutes ces mains, pas d’histoires de mode.

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Le train au cinéma (bibliotheques.paris.fr)
submitted 1 week ago* (last edited 1 week ago) by oeil@jlai.lu to c/chemindefer@jlai.lu
 

Une sélection de 108 films pour les cinéphiles ferroviphiles (ou les ferroviphiles cinéphiles, au choix).

MàJ : remplacement de "ferrovipathes" par "ferroviphiles"

 

publication croisée depuis : https://jlai.lu/post/16234338

Un article très intéressant de Modes pratiques, la revue d'histoire du vêtement et de la mode publiée par l'École supérieure des arts appliqués Duperré et par l'Institut de Recherches Historiques du Septentrion.

L'histoire du fameux tricot islandais, notamment comme monnaie d'échange coloniale et moyen de subsistance. On y explique également que tout le monde tricotait à la maison : hommes, femmes, enfants...et que les aiguilles circulaires datent de 1930 !

 

Un article très intéressant de Modes pratiques, la revue d'histoire du vêtement et de la mode publiée par l'École supérieure des arts appliqués Duperré et par l'Institut de Recherches Historiques du Septentrion.

L'histoire du fameux tricot islandais, notamment comme monnaie d'échange coloniale et moyen de subsistance. On y explique également que tout le monde tricotait à la maison : hommes, femmes, enfants...et que les aiguilles circulaires datent de 1930 !

 

This is a project for anyone who wants to throw something at the wall every time an article comes out about how more of our rights are being stripped away but also doesn’t want to break their fish tank/flower vase/television/porcelain cat figurine in the process.

 

Un MOOC proposé par l'Université Paris-Panthéon Sorbonne, à partir du 22 mars. Environ 1h30/semaine sur 4 semaines.

Chaque chantier est un puzzle complexe où chaque élément doit être documenté, prélevé et analysé avec rigueur. Ce MOOC vous permettra d’acquérir les bases essentielles du travail de terrain, du premier coup de truelle à la conservation des vestiges. Il s’adresse à tous : amateurs curieux, étudiants en archéologie, lycéens en quête d’orientation ou professionnels souhaitant approfondir leurs compétences. Aucun prérequis n’est nécessaire, si ce n’est votre intérêt pour le passé et votre envie d’apprendre. Conçu comme une véritable immersion, ce cours s’appuie sur des vidéos tournées sur des chantiers en France. Vous y rencontrerez une vingtaine de spécialistes – archéologues, topographes, photographes, anthropologues ou conservateurs du patrimoine – qui vous feront partager leur expertise et leur passion.

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