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https://canvas.fediverse.events

Le logo Jlailu est déjà en place, je propose de faire un drapeau belge à droite

!forumlibre@jlai.lu ou le Matrix Jlailu pour discuter

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La belgique sur le Canvas Lemmy (canvas.fediverse.events)
submitted 2 days ago* (last edited 2 days ago) by 0_0@sopuli.xyz to c/belgique@jlai.lu

Je suis en train d'essayer de faire le pays sur le Canvas, n'hésitez pas à venir aider. ! https://canvas.fediverse.events/#x=461&y=441&zoom=10&tu=https%3A%2F%2Ffiles.catbox.moe%2F858atk.png&tw=60&tx=440&ty=412&ts=ONE_TO_ONE

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Le nombre de multipropriétaires belges a grimpé de 7% entre 2022 et 2023, pour atteindre 1,15 million, soit 10% de la population, selon les données de BNP Paribas Fortis et du SPF Finances. Parmi ceux-ci, 221.000 contribuables détiennent au moins une résidence secondaire à l'étranger et 931.000 détiennent plusieurs biens en Belgique.

Mais derrière ces chiffres haussiers se cache une autre réalité. Le marché immobilier s'est en effet refroidi l'année dernière suite à la hausse des taux d'intérêt. L'octroi de crédits hypothécaires a baissé de 30% en 2023. Ce recul est encore plus marqué sur le marché des secondes résidences, puisque BNP Paribas Fortis enregistre une chute de 36% des transactions. " "La brique est de plus en plus une valeur refuge pour les investisseurs en quête de rendement." "

Montant emprunté moins élevé

Et pour la première fois en cinq ans, le montant emprunté pour financer l'achat d'une résidence secondaire a diminué, passant de 236.700 euros en 2022 à 219.700 euros en 2023 (-7%). "Cela peut s’expliquer par le souhait des emprunteurs de compenser la hausse des taux par un apport de fonds propres plus important", indique Valéry Halloy, porte-parole de la banque BNP Paribas Fortis (BNPPF).

La banque observe également une hausse constante des achats visant à dégager des revenus locatifs. Deux tiers (66%) des résidences secondaires financées l'année dernière par BNP Paribas Fortis étaient des investissements, contre "seulement" 56% en 2019. "Preuve que la brique est de plus en plus une valeur refuge pour les investisseurs en quête de rendement", souligne la banque. Cette tendance à l'investissement locatif s'accentue encore plus dans les villes universitaires comme Bruxelles (77%), Liège (67%), Louvain (71%), Gand (68%) ou Mons (81%).

-36%

Dossiers

Le nombre de dossiers de financement d'une résidence secondaire a chuté de 36% en 2023 chez BNP Paribas Fortis.

93% des achats en Belgique

La plupart des acquéreurs d'une résidence secondaire (93%) ont jeté leur dévolu sur la Belgique l'an dernier. "L'investissement belgo-belge offre un triple avantage: une jouissance plus régulière du bien, une plus grande simplicité dans la gestion locative ainsi qu'une plus grande facilité d'obtention d'une hypothèque auprès de son banquier", explique BNPPF.

La côte belge reste prisée par les résidents secondaires, malgré une sévère chute de la demande l'année dernière (-42%). 7% des secondes résidences ont été achetées au littoral, principalement à Ostende (18%), Knokke (7%) et Bruges (6%). L'Ardenne belge représente 4,5% des secondes résidences achetées en Belgique l'an dernier. Bastogne (10%) occupe la première marche du podium, suivie par Verviers (9%) et enfin Spa (4,5%).

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lalibre.be Des interfaces truquées sur tous les sites contrôlés par le SPF Economie Belga Belga ~2 minutes

Dans 70% des cas belges, deux pratiques douteuses au moins étaient utilisées, prévient mardi le SPF Economie.

Les contrôles, qui ont eu lieu entre le 29 janvier et le 2 février dernier, ont mis l'accent sur les sites web et les applications proposant des abonnements à des produits ou à des services. "Il s'agit par exemple de la livraison hebdomadaire de repas ou de fleurs, mais aussi d'abonnements à des plateformes de streaming ou à des contrats d'entretien. Les entreprises ont été sélectionnées sur la base de signalements et d'un échantillonnage", précise le SPF Economie. La Fédération wallonne de l'agriculture victime de cyber-criminels qui pensaient s'en prendre au Service public de Wallonie

Plus de 600 sites internet ont été contrôlés dans le monde, dont 13 en Belgique. "En Belgique, des pratiques ont été détectées particulièrement fréquemment au cours de la campagne de contrôle: des pratiques suspectées d'être 'sournoises', telles que l'impossibilité de désactiver le renouvellement automatique d'un abonnement lors de l'achat, et des pratiques 'd'interface interference', telles que le pré-cochage des abonnements", détaille le SPF.

Des interfaces truquées ou "dark pattern" ont été détectées sur 75,7 % des entreprises contrôlées au cours d'une enquête internationale. Elles sont conçues pour inciter les consommateurs à entreprendre des actions qui ne sont souvent pas à leur avantage. Au niveau belge, tous les sites web contrôlés présentaient au moins un dark pattern, et près de 70 % d'entre eux ont même eu recours à deux pratiques trompeuses ou plus.

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Simple Xposed module to support the Belfius app on Rooted devices!

Source
https://github.com/Rikj000/Belfius-Root#belfius-root

License GPLv3

Motivation
Belfius bank was pretty cool about having a rooted device in the past,
they just threw a dismissible warning about security risks of using a rooted device,
and then allowed you to keep using their app.

However on 2024-07-01 this changed.
Nowadays they assume that you're an idiot that will not be able to keep your own device safe if you have root.

I do not agree with that assumption, and likely neither do you.
Only power users that have a good idea of what they're doing tend to root their own devices.

After only a hand full of transactions, done through the tedious browser process,
I grew agitated enough to do the research to write this module.

Hope you'll enjoy this module and the ability to stay rooted!

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lalibre.be Bornes de recharge : pourquoi autant de retard en Wallonie ? Nicolas Gobiet 7–9 minutes

Recharger sa voiture électrique sur une autoroute wallonne ? Un véritable casse-tête pour de nombreux usagers. Sur la carte européenne des bornes de recharge, la Région s'apparente en effet à véritable désert : seulement 2 486 stations de recharges existent, contre 14 344 côté flamand. "C'est catastrophique. On est un trou noir en Europe", assène Julien Matagne (Les Engagés), anciennement membre de la Commission mobilité du parlement wallon. Un retard notamment déploré par plusieurs exploitants. Explications. Un problème politique

À l'heure actuelle, la Wallonie accueille seulement 13,33 % de l'offre totale des stations de recharge belges. En Flandre, on avoisine les 76,9 %, selon un recensement de mai 2024. Ce contraste flagrant entre les deux entités agace de nombreux acteurs du secteur." Le réseau de mobilité électrique s'est essentiellement développé ces cinq dernières années en Belgique. Mais, rien n'a bougé au niveau des bornes wallonnes", détaille David Germani, chargé des affaires publiques pour la société Fastned. "C'est un choix purement politique, on n'a pris aucune initiative sous cette législature alors qu'une véritable demande existe", surenchérit Philippe Vangeel, directeur opérationnel de EV Belgium, la fédération de la mobilité zéro émission. 50 000 bornes de recharge menacées de devenir hors service, déjà plusieurs utilisateurs touchés : voici pourquoi

Entre 2019 et 2024, le parc automobile électrique est pourtant passé de 2 398 à 17 299 voitures en Wallonie. Les ventes de ces véhicules nouvelle génération sont donc en pleine croissance. Mais si les affaires ont fleuri pour les constructeurs automobiles, le nombre de bornes de rechargement n'a, quant à lui, pas suivi la même dynamique. Au début de la législature, les mesures gouvernementales en la matière sont restées maigres, voire inexistantes. C'est finalement en bout de course que des initiatives ont vu le jour. En février 2023, dans le cadre du plan de relance, le gouvernement wallon a acté un projet de déploiement de 70 000 bornes à l'horizon 2030. Problème : pour les opérateurs, ce développement reste entaché de plusieurs retards. Lenteurs et conservatisme

Au volant des opérations : le ministre écologiste de l'Énergie et de la Mobilité, Philippe Henry, concentre les griefs. Chez Fastned, on s'étonne notamment de l'absence de demande des instances régionales : "La Wallonie reste le seul endroit d'Europe occidentale a ne pas avoir lancé le moindre appel d'offres public en mobilité électrique ces dernières années. À notre dernier conseil d'administration à Amsterdam, j'avais d'ailleurs du mal à traduire les raisons de ce mauvais développement. Tout simplement parce qu'il n'y avait pas d'explication logique", explique David Germani. En coulisses, certains exploitants évoquent des réunions effectuées avec l'administration restées sans suite et une mauvaise communication globale. Philippe Henry, ministre wallon du Climat et de l'Energie (Ecolo) sortant, conteste vigoureusement un manque de volonté de l'exécutif.

Côté politique, sur les bancs des Engagés, on regrette le manque de confiance du ministre envers les entreprises. "La méthodologie depuis le début s'avère mauvaise. Il y a eu une véritable défiance à l'égard d'acteurs privés. On a privilégié une sorte de conservatisme, tout en protégeant la SOFICO et ses concessionnaires en empêchant la concurrence privée de s'installer", regrette le centriste Jean-Luc Crucke. Son confrère, Julien Matagne abonde en ce sens :"Pour que le privé fonctionne, il faut que le public l'anime, l'encourage, lui fasse comprendre qu'ils ont à gagner en investissant chez nous. Philippe Henry ne l'a pas assez fait". Les objectifs du ministre wallon semblent aussi avoir beaucoup fluctué au cours de la législature, ce qui n'a pas aidé à tarir les critiques de ses opposants. "On nous avait annoncé, au départ, 12 000 points de charge, puis 6 000. Aujourd'hui, on est encore en dessous", poursuit l'élu du Hainaut. Une augmentation de 108 %

Louis-Charles Mosseray, General Manager chez Electra, un de leaders du marché sur le Vieux continent, tient tout de même à nuancer le tableau. "Sur l'année écoulée, on remarque un essor important du nombre de points de charge rapide". En terres wallonnes, on compte aujourd'hui 352 stations de ce type, soit 183 de plus qu'en mai dernier. Telenet se lance sur le marché des bornes de recharge pour véhicules électriques

La Wallonie bénéficie donc du meilleur taux de pénétration du Royaume avec une augmentation de 108 % de son nombre de station de recharge rapide, selon des données de la fédération de l'Automobile et du Cycle (FEBIAC). Pour Louis-Charles Mosseray, la Wallonie a su tirer profit de ses retards en investissant majoritairement dans les technologies dernier cri : "On ne peut pas comparer des pommes et des poires. Une borne lente alimente complètement un véhicule en 6 heures, alors qu'une rapide réalise ce travail en environ 20 minutes. Vous avez donc besoin de 25 fois moins de bornes. En Flandre et dans la capitale, on retrouve surtout des équipements lents". Précisons que les Bruxellois font d'ailleurs moins bien en la matière que les Wallons : leur nombre de bornes rapides n'étant passé que de 23 à 33 entre mai 2023 et 2024, toujours selon les données de la FEBIAC. Des objectifs européens

Malgré ses efforts de fin de législature, la Wallonie joue contre la montre. Un règlement européen AFIR (Alternative Fuel Infrastructure Regulation), adopté en juillet 2023, oblige les pays membres à installer des bornes de recharges rapides tous les 60 kilomètres sur certains axes centraux de leur réseau routier. Pour Julien Matagne, "les choses vont devoir s'accélérer, cela devra devenir une priorité pour les prochains gouvernements". D'autant plus que, sauf revirement des conservateurs européens du PPE, la vente de voitures thermiques sera interdite à l'horizon 2035, augmentant de facto le nombre de véhicules électriques circulant sur les routes. Alors une question se pose : le sud de la Belgique est-il préparé à fournir en énergie cette affluence de voitures électriques ? Voitures électriques, la fin pour les garagistes ?

Pour une partie des entreprises privées, le doute demeure. Selon Philippe Vangeel, cela dépendra des ambitions politiques, "le gouvernement devra enclencher la première, les acteurs commerciaux feront le reste".

Powerdot, Electra ou encore Sparki. Récemment diverses entreprises spécialisées dans la recharge électrique ont manifesté leurs intentions de développer leur activité sur le sol wallon. "On se situe à l'année zéro, tout reste à faire", concède David Germani.

Si la mise en place a pris du temps, les choses semblent donc enfin s'accélérer. Du côté de la SOFICO, la société de financement complémentaire des infrastructures wallonnes, on affirme d'ailleurs que les objectifs qui lui ont été assignés sont pratiquement remplis : "Nous devons atteindre 11 000 kW pour mi-2026, à dater d'une comptabilisation de février 2020. Avant cette date, 1 900 kW étaient installés et nous avons actuellement 8 850 kW installés sur notre réseau. Il reste donc 4 050 kW à installer, nous sommes au deux-tiers". Alors ce coup d'accélérateur tardif sera-t-il suffisant pour rattraper l'écart wallon ?

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lalibre.be Négociations "Arizona" au fédéral : possible accélération la semaine prochaine mais "Vooruit se fait toujours... Frédéric Chardon 5–6 minutes

Si les discussions en Wallonie et à la Fédération Wallonie-Bruxelles avancent bien, le fédéral n'est pas en reste. Malgré une phase de temporisation, le préformateur Bart De Wever construit, brique après brique, la future coalition "Arizona". Cette semaine, il aura en tout cas réussi à asseoir à une même table les négociateurs des cinq formations devant composer le prochain attelage fédéral (le MR, la N-VA, Vooruit, le CD&V et Les Engagés). Mais ces réunions ont jusqu'à présent été organisées en présence d'experts et de représentants de différents secteurs dans les dossiers clés : budget, énergie et nucléaire, Défense… Et ce vendredi après-midi (au siège de la N-VA, rue Royale), les pensions et la Santé.

Prochaine étape : mardi. Une véritable plénière est annoncée, elle mettrait en présence les présidents de parti "arizoniens" sans autre intervenant. Le président de la N-VA devrait leur poser la question suivante : peut-on passer aux choses sérieuses, c'est-à-dire à la négociation de l'accord de gouvernement ? Si la réponse était "oui", Bart De Wever pourra se présenter chez le Roi, mercredi, avec de bonnes nouvelles : sa mission de préformateur aura alors porté ses fruits. Et, pour peu que le Palais le juge opportun, le nationaliste flamand pourra être désigné formateur. Un titre qui, pour rappel, permet le plus souvent à celui qui en a la charge de s'installer au 16, rue de la Loi à la fin de sa mission. L'opposition au futur gouvernement Arizona fourbit déjà ses armes : "Ce sera un peu David contre Goliath tous les jours" Les doutes de Vooruit

On n'en est pas encore là. Ce week-end, des réunions bilatérales (Bart De Wever rencontre les négociateurs parti politique par parti politique) devraient être organisées. Le point d'interrogation essentiel reste le suivant : les socialistes flamands vont-ils accepter d'entrer sans le PS dans une majorité "Arizona" dont le cœur battrait au centre-droit ? Melissa Depraetere, actuelle présidente de Vooruit, et Conner Rousseau, qui devrait bientôt récupérer la direction du parti, ont changé d'opinion à plusieurs reprises. "On ne voit pas pourquoi Vooruit accepterait de gouverner avec la N-VA et le CD&V au gouvernement flamand mais refuserait le même type d'alliance au fédéral", raisonne un négociateur "arizonien" plutôt confiant. Un autre, plus pessimiste, insiste sur le fait qu'aucune réelle négociation n'a encore eu lieu : "Vooruit se fait toujours désirer".

Ce qui inquiète le plus les socialistes flamands, ce sont les menaces d'économies dans les dépenses en soins de santé. Ils sont rejoints à ce sujet par le CD&V et les Engagés. "Le budget est important, mais nous ne pouvons pas lâcher les gens", a prévenu vendredi Sammy Mahdi, le président du CD&V. Ce dernier a aussi insisté sur la nécessité de procéder à une réforme fiscale. Face à cette position, la N-VA et le MR entendent limiter la norme de croissance du budget des soins de santé. Mais sans pour autant réclamer des "coupes sombres" dans ces dépenses, entend-on. Par conséquent, plusieurs négociateurs pensent qu'un terrain d'entente pourra être trouvé.

Vooruit's Conner Rousseau and Vooruit head of the study center Inti Ghysels arrive for a meeting between representatives of political parties N-VA, Vooruit, CD&V, MR and Les Engages, to discuss a possible coalition for the Federal Government, at the N-VA headquarters in Brussels on Friday 05 July 2024. N-VA chairman De Wever, who was appointed 'informator' following June 9th elections, is testing the waters for a possible 'Arizona' coalition between the five parties. BELGA PHOTO NICOLAS MAETERLINCK Conner Rousseau et le chef du centre d'études de Vooruit, Inti Ghysels, arrivant au siège de la N-VA, ce vendredi, pour discuter des pensions et des soins de santé. Qui sont les négociateurs "arizoniens" ?

Par ailleurs, les équipes se mettent en place et trouvent leur rythme. Un élément humain à ne pas négliger dans la dynamique d'une négociation. Pour la N-VA, Bart De Wever est appuyé par Jan Jambon (négociateur principal) et les députés Sander Loones, Theo Francken et Bert Wollants selon les matières abordées. Au MR, le président Georges-Louis Bouchez est accompagné de David Clarinval, actuel vice-Premier ministre au sein du gouvernement De Croo.

Chez Vooruit, si Melissa Depraetere a démarré seule les discussions, elle a été rejointe par la suite par Frank Vandenbroucke, le chef de file de son parti au sein de la coalition fédérale actuelle. Peut-être un signe positif : ce vendredi, pour la première fois, Conner Rousseau a participé aux discussions.

Sammy Mahdi, patron du CD&V, est accompagné par Annelies Verlinden (ministre de l'Intérieur) et Vincent Van Peteghem (ministre des Finances et vice-Premier CD&V). Enfin, Les Engagés ont fait au plus simple : le président Maxime Prévot n'est accompagné que de "sherpas" (des collaborateurs).

Il est probable qu'une bonne partie des futurs ministres de la majorité "Arizona", en particulier des futurs vice-Premiers, soit à chercher dans ces quelques noms…

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C’est toujours un chouette festival pour lancer l’été

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🚆 🇧🇪 En train de Namur à Beauraing

@1jour1kif
#1jour1kif
@gayamteurderains

Je l'avais promis dans un autre message, je reviens aujourd'hui sur l'une des plus belles lignes de chemin de fer de Belgique (à mon sens, qui est forcément subjectif), à savoir la ligne reliant Namur à Athus via Dinant, Bertrix et Virton que l'on nomme l'Athus-Meuse. Aujourd'hui, je me concentre sur la portion entre Namur et Beauraing.

Avant de prendre le train, une visite de la capitale wallonne s'impose, Namur est, depuis que la Belgique est un état fédéral, la capitale de la Wallonie. C'est une petite ville entre les villes de Liège et de Charleroi, devenues riches au XIXème siècle grâce au charbon et à l'acier, j'aurai l'occasion d'y revenir dans le futur. 🙂

Namur, c'est aussi la ville où la Meuse et la Sambre, deux fleuves qui prennent leur source en France, se rejoignent pour couler doucement vers Liège et la frontière néerlandaise.

Namur, c'est la ville du peintre Félicien Rops dont on pourra visiter le musée. C'est aussi une ville universitaire, nous trouverons donc facilement de quoi manger et boire notamment dans le quartier du vieux Namur avec ses pittoresques rues étroites (piétonnes). Un des endroit qui a subit de nombreux changements ces dernières années, c'est le Grognon, au confluent. C'est aujourd'hui une promenade sympathique où il fait bon flâner.

Après cette découverte de Namur, nous prenons donc place dans le train L(ocal) vers Dinant et Libramont.

Quittant Namur, nous allons suivre jusqu'à Dinant la vallée de la Meuse. A noter, pour les amateurs de vélo, qu'il existe une voie verte qui longe la meuse par son chemin de halage.

Après une demi-heures, nous arrivons à Dinant, ville touristique et ville natale d'Adolphe Sax, l'inventeur du Saxophone. Outre un musé qui lui est consacré, la visite de la citadelle fait partie des incontournable et s'il fait chaud, une visite de la grotte "La Merveilleuse" offrira un rafraîchissement bienvenu à moins que vous ne préféreriez déguster une bière de l'Abbaye de Leffe (qui n'est pas brassée en l'endroit!) sur l'une des nombreuses terrasses sur "La Croisette" ainsi que s'appelle la promenade de bord de Meuse.

Dinant est aussi le point de départ d'excursions en bateau-mouche qui vous amènerons selon les jours et les heures au château de Freÿr à Waulsort. Alternativement, vous pouvez utiliser le bus du TEC (société wallonne des transports urbains et interurbains) qui relie Dinant à Givet en suivant la Meuse. Pour nos voisins français, Givet est le point d'arrivée des trains en provenance de Charleville-Mézières. J'y reviendrai aussi...

Poursuivons notre trajet en train, nous quittons la vallée de la Meuse à Anseremme, qui est le point de départ pour les kayakistes qui empruntent notre train pour rejoindre Gendron-Celles ou Houyet pour ensuite faire la descente de la Lesse que nous croiserons et recroiserons sur ce tronçon. Le château de Walzin (non visitable) émerge tout d'un coup au détour d'un élargissement de la vallée, fiché sur son éperon rocheux, vous ne pouvez le manquer! La région regorge aussi de chemins de randonnées, vous n'aurez que l'embarras du choix.

Bientôt nous arrivons à Beauraing, gros village célèbre dans le monde entier en raison des apparitions supposées de la vierge Marie en 1932-1933 au pied de la voie ferrée qui surplombe ce qui est devenu aujourd'hui un sanctuaire marial visité par des pèlerins qui viennent de partout! Que l'on soit croyant ou non, l'endroit offre un moment de repos propice à la méditation dans un environnement calme et de recueillement.

Il y a encore tellement de choses à raconter sur les localités riveraines (ou proches) de cette ligne ferroviaire.

Après Beauraing, la ligne s'élève vers le plateau ardennais, offrant des paysages beaucoup plus ruraux jusqu'à Bertrix. L'hiver, si l'on a de la chance, les paysages enneigés donnent une ambiance magique à la région.

Comme toujours, pour en savoir plus sur toutes les localités et les autres, une seule adresse :
➡️ https://visitwallonia.be

#Wallonie #Beauraing #Dinant #Namur #Lesse #Meuse #Trains #Belgique #Trajet_en_train #voyage_en_train

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🇧🇪 Nouveauté cet été pour les jeunes (jusqu’à 25 ans) qui veulent découvrir à bon prix la Belgique.

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Toutes les informations ➡️ Youth Holidays Combi https://www.belgiantrain.be/fr/tickets-and-railcards/go-unlimited?menu=1

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