arcay

joined 4 months ago
[–] arcay@jlai.lu 1 points 1 week ago* (last edited 1 week ago)

personnellement j'ai fait le choix de me passer complètement des apps, avec postmarketos

aller sur waydroid ou autres graphene/eelo reste un geste ligoté aux applis proprios et commerciales qui exigeront très souvent les services google ; seule solution de libération : virer ces services en ligne, retour au bonnes vieilles années 2000..

c'est soit sur mon ordi, soit dans la vraie vie (sans écran m'appartenant), soit pas dans ma vie du tout. jamais je reviendrai en arrière.

le pb, c'est que demain, avec la surmerdification d'android, rester sur une variante d'aosp (eelo/lineage/graphene) va devenir un enfer à quitter, au meme titre que les gafamisés qui sont aujourd'hui irrécupérables pour la plupart.

[–] arcay@jlai.lu 2 points 2 weeks ago

J’ai un téléphone qui reste chez moi sur lequel j’ai mis applis bancaire. Un genre de digipass de 2025.

ma banquière m'a refilé le mien, à ses frais. zéro dépense vu que j'ai rien demandé.

[–] arcay@jlai.lu 2 points 2 weeks ago (1 children)

J’aurai aimé ne pas avoir d’application bancaire sur mon téléphone mais elle m’est imposée.

j'impose à ma banque aucune appli bancaire ; comment? tout simple, en venant la voir je lui montre qu'il est impossible d'installer des applis sur le tel ; que tout changement se fera à ses frais ; elle part et revient quelques minutes avec un tout petit appareil, elle me dit qu'elle me le remet, et me cache pas que normalement c'est payant, mais les clients ne pouvant pas avoir l'appli, c'est gratos. J'encourage de faire ça à tout le monde, le concept de l'"appli obligatoire" est clairement la main de s.a.t.a.n dans la poche, pas d'autre mots.

faut savoir que l'appli bancaire, exigeant les dernières maj android/iphone, est un abonnement sur dix/vingt ans à un matériel, appareil, pour gérer les dernières maj :

https://www.rtl.be/actu/belgique/lapplication-bancaire-de-michel-ne-fonctionne-plus-sur-son-telephone-de-2018-je/2023-04-24/article/533828

bon courage!

ma prose à ce sujet : https://jlai.lu/post/25227934 et https://jlai.lu/u/arcay

[–] arcay@jlai.lu 1 points 2 weeks ago (1 children)

J'ai suivi ces dernières années, sailfish et les autres, pour comparer à :

-ubuntu touch, qui s'en sort un peu moins mal

sailfish, c'est clairement le projet brouillon pour montrer qu'une autre direction qu'android est possible, mais sans y arriver : -l'équipe est trop petite (une PME) -l'UI souvent rabachée comme bientot OSS/LL, bien que toujours proprio après des années -basée sur AOSP pour certaines strates (halium de mémoire), donc dépendante des choix de google -la plupart des ports sont faits par la communauté -un désordre pour les applis : faut installer un dépot communautaires secondaire, indépendant de jolla, pour en avoir -des présentations commerciales dignes de présentations de stage -leur nouveau bijou : le boitier "IA" -la compatibilité android, par abo et non plus achat en une fois

le seul énorme truc qu'a apporté cet OS, est la gestuelle pour l'interaction, que tout le monde a copié :D

cet os n'a jamais décollé malgré une attente énorme du public ingé/passionné/nerd, qui le suit depuis au moins quinze ans. Bcp d'anciens de nokia d'ailleurs. Mais : quand on regarde à coté, ubuntu toucch, porté par ubports, suite à l'abandon de canonical, a l'air de mieux progresser...

et postmarketos, qu'a germé en 2017, clairement a fait bcp plus en à peine dix ans, que jolla sur sailfish...

pour moi jolla/sailfish est à la mobilité "désandroidisée" ce que eelo/murena est à la mobilité android : un essai à voir, intéressant mais dont les choix n'iront pas plus loin qu'une très petite existence..

(non je porte pas murena/eelo dans mon coeur)

pour moi c'est clair que postmarketos est l'union des nerds qui fait la force, quand à coté sailifish/jolla regardent pas vraiment dans la bonne direction..

[–] arcay@jlai.lu 2 points 2 weeks ago

J'ai suivi ces dernières années, sailfish et les autres, pour comparer à :

-ubuntu touch, qui s'en sort un peu moins mal

sailfish, c'est clairement le projet brouillon pour montrer qu'une autre direction qu'android est possible, mais sans y arriver : -l'équipe est trop petite (une PME) -l'UI souvent rabachée comme bientot OSS/LL, bien que toujours proprio après des années -basée sur AOSP pour certaines strates (halium de mémoire), donc dépendante des choix de google -la plupart des ports sont faits par la communauté -un désordre pour les applis : faut installer un dépot communautaires secondaire, indépendant de jolla, pour en avoir -des présentations commerciales dignes de présentations de stage -leur nouveau bijou : le boitier "IA" -la compatibilité android, par abo et non plus achat en une fois

le seul énorme truc qu'a apporté cet OS, est la gestuelle pour l'interaction, que tout le monde a copié :D

cet os n'a jamais décollé malgré une attente énorme du public ingé/passionné/nerd, qui le suit depuis au moins quinze ans. Bcp d'anciens de nokia d'ailleurs. Mais : quand on regarde à coté, ubuntu toucch, porté par ubports, suite à l'abandon de canonical, a l'air de mieux progresser...

et postmarketos, qu'a germé en 2017, clairement a fait bcp plus en à peine dix ans, que jolla sur sailfish...

pour moi jolla/sailfish est à la mobilité "désandroidisée" ce que eelo/murena est à la mobilité android : un essai à voir, intéressant mais dont les choix n'iront pas plus loin qu'une très petite existence..

(non je porte pas murena/eelo dans mon coeur)

pour moi c'est clair que postmarketos est l'union des nerds qui fait la force, quand à coté sailifish/jolla regardent pas vraiment dans la bonne direction..

[–] arcay@jlai.lu 1 points 2 weeks ago

J'ai suivi ces dernières années, sailfish et les autres, pour comparer à :

-ubuntu touch, qui s'en sort un peu moins mal

sailfish, c'est clairement le projet brouillon pour montrer qu'une autre direction qu'android est possible, mais sans y arriver : -l'équipe est trop petite (une PME) -l'UI souvent rabachée comme bientot OSS/LL, bien que toujours proprio après des années -basée sur AOSP pour certaines strates (halium de mémoire), donc dépendante des choix de google -la plupart des ports sont faits par la communauté -un désordre pour les applis : faut installer un dépot communautaires secondaire, indépendant de jolla, pour en avoir -des présentations commerciales dignes de présentations de stage -leur nouveau bijou : le boitier "IA" -la compatibilité android, par abo et non plus achat en une fois

le seul énorme truc qu'a apporté cet OS, est la gestuelle pour l'interaction, que tout le monde a copié :D

cet os n'a jamais décollé malgré une attente énorme du public ingé/passionné/nerd, qui le suit depuis au moins quinze ans. Bcp d'anciens de nokia d'ailleurs. Mais : quand on regarde à coté, ubuntu toucch, porté par ubports, suite à l'abandon de canonical, a l'air de mieux progresser...

et postmarketos, qu'a germé en 2017, clairement a fait bcp plus en à peine dix ans, que jolla sur sailfish...

pour moi jolla/sailfish est à la mobilité "désandroidisée" ce que eelo/murena est à la mobilité android : un essai à voir, intéressant mais dont les choix n'iront pas plus loin qu'une très petite existence..

(non je porte pas murena/eelo dans mon coeur)

pour moi c'est clair que postmarketos est l'union des nerds qui fait la force, quand à coté sailifish/jolla regardent pas vraiment dans la bonne direction..

[–] arcay@jlai.lu 1 points 1 month ago

personnellement j'arriverai jamais à recommander Matrix, je suis mille fois plus pour xmpp (et SIP) :

https://write.tedomum.net/tkr/lettre-en-apologie-a-xmpp-compare-a-matrix-et-autres-logiciels-applications

(le site contient d'autres billets spécialisés)

 

publication croisée depuis : https://jlai.lu/post/28999048

Complémentaire : http://numel.blog.free.fr/index.php?post/2024/11/18/Australie-2G-3G-nov2024

https://www.abc.net.au/news/2025-11-18/nsw-tpg-telecom-sydney-person-samsumg-triple-0-death/106021692

https://lafibre.info/oceanie/arret-de-la-3g-en-aurstralie-une-gestion-catastrophique/

https://www.smh.com.au/technology/tpg-customer-dies-after-failed-triple-zero-call-20251118-p5ng7j.html

TPG Telecom says Sydney person died after outdated phone software blocked Triple Zero calls

By Luke Royes

Topic:Technology

Mon 17 Nov Monday 17 November A person holding a smartphone dialling 000

TPG says the incident happened on November 13. (ABC News: Dannielle Maguire) In short:

TPG Telecom has confirmed a customer in Sydney died last week after a mobile phone could not make Triple Zero calls.

The telco says early investigations indicated the failed calls were due to a Samsung device operating on software that was not compatible with making Triple Zero calls on the network.

Samsung said on its website it had identified older mobile devices that do not "correctly connect to an alternative mobile network to make Triple Zero calls when the user's primary network is not available". Link copied

TPG Telecom says a Sydney customer died after outdated software blocked a Samsung phone from making Triple Zero (000) calls.

The telco said in a statement it was informed of the incident involving a person using a Lebara service on a Samsung device on November 13 by NSW Ambulance yesterday.

TPG Telecom said its mobile network was operational and no outages had occurred.

"Early investigations indicate that the failed calls were due to the customer's Samsung device operating on software that was not compatible with making Triple Zero calls on the network," the company said in a statement.

"Samsung recently identified that certain, older devices required a software update to enable Triple Zero functionality on TPG Telecom's mobile network."

The telco said when it became aware of issues with these handsets on its network, it told customers "to urgently update affected devices".

"Handsets not updated are blocked after a period of 28-35 days from the first contact to the customer, as required under new regulations," the company said.

"The most recent communications to customers with impacted devices was sent on 7 November." A woman and a man walk past a Samsung store with mobile phones and tablets for sale on benches.

A number of older Samsung devices are listed on the company's website as needing to be replaced or updated. (ABC News: Jack Ailwood)

In a statement, NSW Ambulance confirmed it received contact from the person "via an alternate phone connection" after they attempted to call Triple Zero, and paramedics responded immediately.

"We extend our sincere condolences to the family and friends of the patient," it read. Samsung customers 'strongly advised' to install latest software updates

Samsung said it was continuing to work closely with its carrier partners to ensure all devices operate reliably in emergencies.

"We strongly encourage customers to keep their mobile devices updated with the latest software, as this is critical to maintaining the highest standards of safety, security, and performance," the statement read.

Samsung said customers with devices requiring updates or replacements have been notified by their mobile carrier with instructions following the incident.

The company lists on its website dozens of devices that need to be updated or replaced to ensure users can make Triple Zero calls.

It said newer model phones were not affected.

Three people died in September after a technical failure on the Optus network meant Triple Zero calls were unable to go through.

Last month Telstra testing revealed some Samsung mobile phone users may be unable to call Triple Zero in an emergency with more than 70 models found not to be connecting correctly.

The issue affected 11 older model Samsung Galaxy phones which users would need to replace with newer devices, and about 60 models that required system updates, Telstra said. TPG boss offers condolences, urges action A man in a white long-sleeve shirt standing at a counter with a TPG Telecom sign on the wall behind it.

TPG Telecom said its mobile network was operational and no outages had occurred. (ABC News: Jack Ailwood)

TPG Telecom managing director and CEO Inaki Berroeta said customer safety was the company's "highest priority" and urged users of affected devices to update their software or replace them.

"This is a tragic incident, and our condolences and thoughts are with the individual's family and loved ones," he said.

"Access to emergency services is critical.

"We urge all customers with outdated software to replace or update their devices without delay to ensure they can reach Triple Zero in an emergency."

TPG Telecom said the communications minister, NSW Government, Australian Communications and Media Authority (ACMA), Triple Zero Custodian and other relevant government and regulatory bodies had been notified of the incident. Investigation into Triple Zero compliance underway

Communications Minister Anika Wells said the "tragic situation" would be investigated.

"TPG's compliance with the Emergency Call Service Determination will be rigorously assessed by ACMA," she said in a statement.

ACMA said in a statement it would investigate whether there had been any non-compliance with the Triple Zero rules and enforcement action taken if any was found. Anthony Albanese and Anika Wells press conference

Anika Wells says the "tragic situation" would be investigated by the communications watchdog. (ABC News: Ian Cutmore)

"Under rules introduced in 2024, telecommunications providers must notify their customers where the provider identifies that the customer's device may not be able to connect to triple zero and then take action to block those devices from their networks," it said.

Opposition communications spokesperson Melissa McIntosh said she was "really saddened" to learn of the death.

She said the warnings around connectivity issues with the Triple Zero network have been "loud and clear" for a month.

"We found out that there would be a number of Samsung handset devices that would not be compatible, and this goes all the way back to the botched-up, failed 3G network shutdown by the Albanese government," she said.

Greens Senator Sarah Hanson-Young , who is chairing a senate inquiry into the deadly Optus Triple Zero outage, said the probe would also look into the TPG failure.

“This squarely sits now at the feet now of the regulator and the government to fix Triple Zero because it's clearly not fit for purpose and not working to keep Australians safe. It shouldn't happen again," she said. Loading... Posted Mon 17 Nov 2025 at 10:49pm Monday 17 Nov 2025 at 10:49pm , updated 18h ago 18 hours ago

https://www.smh.com.au/technology/tpg-customer-dies-after-failed-triple-zero-call-20251118-p5ng7j.html

1
submitted 1 month ago* (last edited 1 month ago) by arcay@jlai.lu to c/technologie@jlai.lu
 

Complémentaire : http://numel.blog.free.fr/index.php?post/2024/11/18/Australie-2G-3G-nov2024

https://www.abc.net.au/news/2025-11-18/nsw-tpg-telecom-sydney-person-samsumg-triple-0-death/106021692

https://lafibre.info/oceanie/arret-de-la-3g-en-aurstralie-une-gestion-catastrophique/

https://www.smh.com.au/technology/tpg-customer-dies-after-failed-triple-zero-call-20251118-p5ng7j.html

TPG Telecom says Sydney person died after outdated phone software blocked Triple Zero calls

By Luke Royes

Topic:Technology

Mon 17 Nov Monday 17 November A person holding a smartphone dialling 000

TPG says the incident happened on November 13. (ABC News: Dannielle Maguire) In short:

TPG Telecom has confirmed a customer in Sydney died last week after a mobile phone could not make Triple Zero calls.

The telco says early investigations indicated the failed calls were due to a Samsung device operating on software that was not compatible with making Triple Zero calls on the network.

Samsung said on its website it had identified older mobile devices that do not "correctly connect to an alternative mobile network to make Triple Zero calls when the user's primary network is not available". Link copied

TPG Telecom says a Sydney customer died after outdated software blocked a Samsung phone from making Triple Zero (000) calls.

The telco said in a statement it was informed of the incident involving a person using a Lebara service on a Samsung device on November 13 by NSW Ambulance yesterday.

TPG Telecom said its mobile network was operational and no outages had occurred.

"Early investigations indicate that the failed calls were due to the customer's Samsung device operating on software that was not compatible with making Triple Zero calls on the network," the company said in a statement.

"Samsung recently identified that certain, older devices required a software update to enable Triple Zero functionality on TPG Telecom's mobile network."

The telco said when it became aware of issues with these handsets on its network, it told customers "to urgently update affected devices".

"Handsets not updated are blocked after a period of 28-35 days from the first contact to the customer, as required under new regulations," the company said.

"The most recent communications to customers with impacted devices was sent on 7 November." A woman and a man walk past a Samsung store with mobile phones and tablets for sale on benches.

A number of older Samsung devices are listed on the company's website as needing to be replaced or updated. (ABC News: Jack Ailwood)

In a statement, NSW Ambulance confirmed it received contact from the person "via an alternate phone connection" after they attempted to call Triple Zero, and paramedics responded immediately.

"We extend our sincere condolences to the family and friends of the patient," it read. Samsung customers 'strongly advised' to install latest software updates

Samsung said it was continuing to work closely with its carrier partners to ensure all devices operate reliably in emergencies.

"We strongly encourage customers to keep their mobile devices updated with the latest software, as this is critical to maintaining the highest standards of safety, security, and performance," the statement read.

Samsung said customers with devices requiring updates or replacements have been notified by their mobile carrier with instructions following the incident.

The company lists on its website dozens of devices that need to be updated or replaced to ensure users can make Triple Zero calls.

It said newer model phones were not affected.

Three people died in September after a technical failure on the Optus network meant Triple Zero calls were unable to go through.

Last month Telstra testing revealed some Samsung mobile phone users may be unable to call Triple Zero in an emergency with more than 70 models found not to be connecting correctly.

The issue affected 11 older model Samsung Galaxy phones which users would need to replace with newer devices, and about 60 models that required system updates, Telstra said. TPG boss offers condolences, urges action A man in a white long-sleeve shirt standing at a counter with a TPG Telecom sign on the wall behind it.

TPG Telecom said its mobile network was operational and no outages had occurred. (ABC News: Jack Ailwood)

TPG Telecom managing director and CEO Inaki Berroeta said customer safety was the company's "highest priority" and urged users of affected devices to update their software or replace them.

"This is a tragic incident, and our condolences and thoughts are with the individual's family and loved ones," he said.

"Access to emergency services is critical.

"We urge all customers with outdated software to replace or update their devices without delay to ensure they can reach Triple Zero in an emergency."

TPG Telecom said the communications minister, NSW Government, Australian Communications and Media Authority (ACMA), Triple Zero Custodian and other relevant government and regulatory bodies had been notified of the incident. Investigation into Triple Zero compliance underway

Communications Minister Anika Wells said the "tragic situation" would be investigated.

"TPG's compliance with the Emergency Call Service Determination will be rigorously assessed by ACMA," she said in a statement.

ACMA said in a statement it would investigate whether there had been any non-compliance with the Triple Zero rules and enforcement action taken if any was found. Anthony Albanese and Anika Wells press conference

Anika Wells says the "tragic situation" would be investigated by the communications watchdog. (ABC News: Ian Cutmore)

"Under rules introduced in 2024, telecommunications providers must notify their customers where the provider identifies that the customer's device may not be able to connect to triple zero and then take action to block those devices from their networks," it said.

Opposition communications spokesperson Melissa McIntosh said she was "really saddened" to learn of the death.

She said the warnings around connectivity issues with the Triple Zero network have been "loud and clear" for a month.

"We found out that there would be a number of Samsung handset devices that would not be compatible, and this goes all the way back to the botched-up, failed 3G network shutdown by the Albanese government," she said.

Greens Senator Sarah Hanson-Young , who is chairing a senate inquiry into the deadly Optus Triple Zero outage, said the probe would also look into the TPG failure.

“This squarely sits now at the feet now of the regulator and the government to fix Triple Zero because it's clearly not fit for purpose and not working to keep Australians safe. It shouldn't happen again," she said. Loading... Posted Mon 17 Nov 2025 at 10:49pm Monday 17 Nov 2025 at 10:49pm , updated 18h ago 18 hours ago

https://www.smh.com.au/technology/tpg-customer-dies-after-failed-triple-zero-call-20251118-p5ng7j.html

[–] arcay@jlai.lu 1 points 1 month ago

postmarketos, au quotidien ici :) surtout zéro appli bancaire ;)

[–] arcay@jlai.lu 1 points 1 month ago* (last edited 1 month ago)

pinephone, manjaro, et le logiciel libre, une histoire d'amour..

https://en.wikipedia.org/wiki/Pinephone#Difference_between_PinePhone_Community_Edition_and_PinePhone_Pro,_and_controversy

https://blog.brixit.nl/why-i-left-pine64/

https://pine64.org/2022/08/18/a-response-to-martijns-blog/

au vu de l'énorme fiasco entre PP/Manjaro, pour rien au monde je ne les recommanderai..

préférez le librem :) postmarketos>all ;)

[–] arcay@jlai.lu 1 points 1 month ago

Non, avant de privilégier le remplacement de composants, privilégions la compatibilité avec du "pur linux", cad sans aucune couche android/AOSP. Postmarketos et Pureos sont maitre dans la matière. Zéro app, zéro probleme

[–] arcay@jlai.lu 1 points 1 month ago (1 children)

il y a d'autres alternatives, priviligier la compatibilité d'un OS pur linux, à un simple remplacement de batteries

 

« La sécurité de la Suisse 2025 »: la confrontation mondiale a des répercussions directes sur la Suisse

Quand les agents secrets suisses tirent la sonnette d’alarme

DÉCLASSIFIÉ. Derrière une façade de neutralité, 440 agents du renseignement suisse surveillent les grandes puissances, les réseaux terroristes et les cybermenaces, afin de protéger le modèle helvétique.

Par Romain Gubert Publié le 05/09/2025 à 17h00

S’abonner sans engagement Plusieurs événements sont particulièrement surveillés par les « espions suisses », comme le WEF (World Economic Forum, le forum de Davos qui rassemble grands patrons et responsables politiques du monde entier). Plusieurs événements sont particulièrement surveillés par les « espions suisses », comme le WEF (World Economic Forum, le forum de Davos qui rassemble grands patrons et responsables politiques du monde entier). © CHINE NOUVELLE/SIPA / SIPA / CHINE NOUVELLE/SIPA

Temps de lecture : 6 min

Ajouter à mes favoris Google News 

Si le sujet n'était pas sérieux – on parle tout de même de terrorisme, de guerre en Ukraine, de cyberattaques, etc. –, on pourrait presque sourire. Et se moquer gentiment de nos voisins suisses sur le mode, « pour des gens qui aiment le secret, les Suisses sont tout de même étonnamment transparents… ». Et en effet : le document diffusé par le service de renseignement de la Confédération que Le Point a analysé en détail (et que l'on peut trouver ici) est un modèle du genre. Il permet de revisiter les clichés sur la Suisse et leur supposé amour du secret (notamment bancaire): leurs espions racontent en réalité beaucoup de choses à leurs concitoyens.

Rapport:

https://cms.news.admin.ch/fileservice/sdweb-docs-prod-nsbcch-files/files/2025/07/01/e315f967-cfbf-4106-9e68-32965964f1d2.pdf

https://www.vbs.admin.ch/fr/src-securite-de-la-suisse-2025

Dans ce document, on découvre que les 440 « agents secrets suisses » du service de renseignement helvète disposent, pour assurer leur mission, d'un budget annuel supérieur à 110 millions de francs suisses (117 millions d'euros), ce qui est tout à fait conséquent par rapport à la taille du pays (à titre de comparaison, le budget de la DGSE – 7 500 agents – atteint 1 milliard d'euros, celui de la DGSI tourne autour de 200 millions). À LIRE AUSSI Les espions suisses, ces horribles machos

On apprend encore que les services secrets suisses sont l'un des tout premiers organismes fédéraux à avoir reçu un label qui célèbre ses « efforts en matière de politique familiale ». Ou encore, plus amusant, que ses agents – à 60 % masculins – sont amenés à voyager fréquemment « dans le monde entier »… Davos, Genève et les grandes conférences sous surveillance

On retiendra (sans surprise) que plusieurs événements sont particulièrement surveillés par les « espions suisses », comme le WEF (World Economic Forum, le forum de Davos, qui rassemble grands patrons et responsables politiques du monde entier) ou encore les sommets internationaux plus ou moins informels (pour tenter de trouver une issue à la guerre en Ukraine, favoriser la transition en Syrie, etc.).

La localisation en Suisse des sièges de l'OMS (Organisation mondiale de la santé) ou de divisions importantes de l'ONU constitue aussi « un hub », particulièrement surveillé par les services suisses. Genève est ainsi un « nid d'espions », confirment les espions de la confédération qui notent : « En Suisse, les services de renseignement russes et chinois vont continuer à mener des opérations dirigées contre des États occidentaux, y compris des activités et des préparatifs dans le cadre de la guerre hybride. Le risque que la Suisse soit utilisée pour préparer ou commettre des enlèvements, des actes de sabotage et des attentats à l'étranger augmente […] Il ne faut pas non plus s'attendre à ce que les activités d'espionnage de divers services de renseignement à l'encontre de leurs diasporas diminuent. Ces activités se focalisent sur les journalistes en exil et les personnes qui s'opposent au pouvoir politique dans leurs pays d'origine, ce qui leur confère de l'influence. »

À LIRE AUSSI La Suisse sonnée et apeurée après la gifle douanière de TrumpLa Suisse est aussi le terrain de jeu favori des espions du monde entier. « En matière d'espionnage, notent les espions de la Confédération, les services de renseignement des grandes puissances continuent de mener le jeu. Ils disposent d'immenses moyens humains, financiers et techniques. En Europe, la principale menace émane des services russes et chinois […] qui jouent également un rôle de premier plan dans le cadre d'autres activités, comme la répression transnationale, l'acquisition de biens, la propagande, les activités d'influence et, particulièrement dans le cas de la Russie, le sabotage et les assassinats ciblés, tant sur leur territoire national qu'à l'étranger […] La Suisse reste une zone d'opération privilégiée pour l'espionnage et d'autres activités de renseignement. »

Enfin, la Suisse est évidemment un partenaire majeur des agences étrangères. La confédération collabore avec les pays membres de la zone Schengen (elle en est membre). Bien que neutre, la Suisse échange aussi avec l'ensemble des services « amis » (ils ne sont pas nommés). Ces derniers ont demandé 14 472 renseignements sur un an… Quant à la Suisse, elle a demandé à ses « partenaires » (ils sont au nombre de 100) 3 600 informations sur des sujets la concernant. Enfin, au détour de quelques phrases du rapport, on apprend que les espions suisses ont transmis aux plus hautes autorités de la Confédération 31 rapports détaillés sur le terrorisme et 7 sur des dossiers « espionnage »… Enfin, sur 4 557 demandes d'accréditations de diplomates, la Suisse en a rejeté… 30. Neutralité suisse : un modèle sous pression

Mais le document ne se contente pas de diffuser des chiffres. Paraphé par Martin Pfister, conseiller fédéral et patron de l'un des sept départements de l'administration helvète qui coiffe la défense et « la protection de la population » (c'est une sorte de « super-ministre »), le document évoque l'ensemble des menaces auxquelles la Suisse doit faire face pour protéger son modèle. Et dresse ce constat : depuis quelques années, la Suisse, malgré sa neutralité, n'est pas à l'abri. À LIRE AUSSI De potentiels frais de douane sur l'or inquiètent la Suisse

Elle a « subi une très sérieuse dégradation sur le plan de la politique de sécurité. Cette évolution n'est pas un phénomène passager. C'est une tendance durable qui place notre pays devant des défis sécuritaires, politiques et sociaux », prévient Pfister pour qui « l'environnement politico-sécuritaire de la Suisse pourrait ainsi offrir une protection réduite à l'avenir ».

Le service de renseignement de la confédération évoque en détail et longuement la situation internationale. Guerre en Ukraine, stratégie chinoise, incertitudes aux États-Unis, etc. Mais si la Suisse est évidemment un acteur incontournable sur la scène internationale de par sa position de place financière d'envergure mondiale et sa neutralité, elle est aussi directement exposée. Terrorisme, exportations et cyberattaques : les nouvelles menaces

Premier risque : la menace terroriste. « Elle est élevée, disent les espions suisses qui notent que “les intérêts juifs et israéliens sont particulièrement exposés”. »

À Découvrir Le Kangourou du jour Répondre Autre risque important : la Suisse est utilisée comme plateforme par la Russie ou la Chine. En clair, l'industrie suisse fournit, sans forcément le savoir, l'armée russe. Elle dispose de rapports intenses avec certains pays « amis » de la Russie qui peuvent jouer le rôle d'intermédiaires. Or, explique le rapport « il est pratiquement impossible, pour les autorités suisses, de suivre les biens qui ont été produits par une machine-outil suisse […] Le SRC examine les chaînes d'approvisionnement de biens ne figurant pas sur les listes afin d'empêcher les transferts à grande échelle vers la Russie. Il sensibilise également les entreprises qui fabriquent en Suisse et au Liechtenstein des produits dont la Russie a besoin et qui se trouvent donc exposées aux tentatives d'acquisition ».

À LIRE AUSSI Pourquoi les hôpitaux français restent les cibles privilégiées des cybercriminels Reste les cyberattaques. « Elles constituent, affirme le rapport, une menace significative pour les exploitants d'infrastructures critiques en Suisse. La guerre contre l'Ukraine reste un facteur d'influence déterminant dans ce contexte : les cyberacteurs étatiques russes poursuivent souvent les intérêts stratégiques de la Russie dans le cadre de cette guerre. […] La Suisse est également prise pour cible par des acteurs étatiques iraniens et nord-coréens […] Ils exploitent par ailleurs des éléments d'infrastructure en Suisse, comme des serveurs, pour mener des activités de cyberespionnage ou des cyberopérations offensives dirigées contre des objectifs pertinents en matière de politique de sécurité dans des États tiers. Ces actions font peser un risque de réputation sur la Suisse, lequel peut également entraîner des coûts au niveau politique. »

view more: next ›